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Surpoids des enfants et méconnaissance des parents

Le surpoids, cette « épidémie » qui se développe rapidement (deux Français sur trois s’estiment en surpoids*), touche aujourd’hui de plus en plus d’enfants et de jeunes.
Ce bilan inquiétant pousse les parents à mettre les enfants parfois en très bas âge dans une restriction alimentaire non justifiée. Et cela aurait tendance à créer des problèmes de poids, d’obsession à la nourriture et à accentuer le surpoids lorsqu’il est déjà présent.

enfant balance

C’est grâce aux neurosciences et aux découvertes scientifiques sur les transmissions épigénétiques, que Nathalie Meer, neuro-comportementaliste en nutrition, a pu faire la lumière sur pourquoi le surpoids touche de plus en plus d’enfants, et surtout comment enrayer ce nouveau fléau mondial.

La Méthode Meer, c’est le fruit d’une vingtaine d’années de recherches et de 10 ans de pratique en cabinet.
Cette méthode qui permet de maigrir durablement sans faire de régime, part d’un constat prouvé scientifiquement qui est : perte de poids durable et régime alimentaire sont incompatibles. Dans 95% des cas, les personnes ayant fait un régime alimentaire reprennent du poids et 80% * d’entre elles en reprennent plus. Pour Nathalie Meer : « la solution est dans la tête, pas dans l’assiette ». Agir sur l’ingestion alimentaire provoque des dégâts parfois irréversibles, et notamment sur les jeunes organismes en pleine croissance.

S’attacher à travailler sur les causes du surpoids
La Méthode Meer® propose une approche innovante qui s’attache à travailler davantage sur comprendre et agir sur les comportements qui poussent à manger et/ou à stocker, que sur le contenu nutritionnel des aliments. Cela va bien au-delà de la « malbouffe ».
On ne naît pas ou on ne devient pas gros par hasard, le surpoids n’est pas une fatalité, il a une raison d’être et il peut dans la majorité des cas être totalement enrayé. Les causes peuvent être multiples. Et il s’agit majoritairement d’une continuité de comportements qui se perpétuent d’une génération à une autre. Ce n’est pas le surpoids qui est inscrit dans les gènes, ce sont des comportements de protection qui se transmettent à travers les gènes, c’est le rôle de l’épigénétique.

femme bebe

L’enfant reproduit les comportements de façon innée et acquise
Pour mieux comprendre le rôle du surpoids chez l’enfant, il faut se replacer dans un contexte de lignée et intégrer le fait que les comportements se transmettent d’une part, à travers les gènes et, d’autre part, par effet d’apprentissage par imitation*. Par exemple, lorsque la famine a frappé dans une génération donnée, le programme de survie de l’espèce va développer pour la génération suivante un nouveau système d’alerte pour éviter que le problème ne se reproduise. Mais aussi, l’enfant de cette génération donnée, qui a lui-même manqué de nourriture, une fois devenu adulte, peut développer des comportements irraisonnés en lien avec la peur de manquer, qu’il va transmettre à ses enfants, par effet de mimétisme. Des comportements tels que le besoin d’avoir les placards et le réfrigérateur plein d’aliments, ne pas pouvoir s’empêcher de finir son assiette ou de résister lorsque l’on propose de la nourriture, alors que l’on an’ pas faim ; ou encore des phrases telles que : « finis ton assiette », « moi à ton âge, je n’avais pas ta chance », « mange, tu ne sais pas qui te mangeras », « tu dois manger de tout, tous les jours » « ne saute pas de repas » ; « prend ton petit-déjeuner, tu vas avoir faim plus tard », etc., sont autant d’attitudes qui révèlent des comportements de peur de manquer de nourriture et qui font manger plus, voire, beaucoup trop.

D’autres facteurs contribuent au surpoids de l’enfant.
Le régime alimentaire réveil des mémoires de famines de nos ancêtres
De plus, le régime alimentaire en lui-même, réveil des mémoires de famine, et lorsque l’enfant est privé de nourriture - « parce qu’il n’est pas dans la moyenne de la courbe de poids » - il peut développer des comportements compulsion alimentaire par effet de rattrapage (effet yoyo) et du sur stockage.

Le chantage affectif
Manger trop, c’est aussi, pousser l’enfant à terminer alors qu’il n’a plus faim, en mettant en jeu le chantage affectif. Par exemple : une attitude telle que se fâcher, voire punir, si l’enfant ne finit pas son assiette, ou une phrase telle que : « mange pour faire plaisir à maman », créait un lien entre l’amour et la nourriture. Et l’enfant peut interpréter que pour être aimé, il doit manger. Ces comportements et de petites phrases en théorie anodines obligent l’enfant à se déconnecter de ses ressentis de faim et de satiété. Il mange pour continuer à être aimé de son parent.
Il faut apprendre à reconnecter l’enfant à la fonction de la nutrition innée, et instinctive, plutôt que de laisser notre cerveau de la raison piloter.

Le détournement de la fonction de la nutrition vers un besoin de se réconforter
Dans le cas des personnes qui sont en surpoids, la nourriture, c’est aussi un régulateur émotionnel, un tranquillisant, un anesthésiant, un antidépresseur, un antidouleur… naturel
Le cerveau peut décider, comme solution gagnante, de détourner la fonction de la nutrition pour apporter, énergie, plaisir, réconfort et sécurité lorsque la vie est vécue comme un combat ou pour gérer l’intolérance émotionnelle. Et, ici aussi, l’enfant peut reproduire par effet d’imitation ces comportements de protection.

Le retour au poids de forme de l’enfant et des jeunes.
Au regard des travaux réalisés par les épigénéticiens, il serait réducteur de cantonner le surpoids à une simple histoire de nourriture et à fortiori au concept d’équilibre alimentaire. Et pour sortir durablement un enfant de la spirale infernale de la prise de poids, il existe dans la Méthode Meer, un protocole de prise en charge des enfants et jeunes. Celui-ci implique le ou les parents, et notamment celui qui prépare à manger. Le travail se fait en plusieurs séances certaines sont communes avec le parent et d’autres se font individuellement. Le protocole agit sur deux axes, le premier est une reconnexion avec les ressentis de faim et de satiété, afin d’arrêter de trop manger, et le second agit sur les comportements hérités qui détournent la fonction de la nutrition à d’autres fins que celle de manger.

La Méthode Meer, c’est un réseau de neuro-comportementalistes en nutrition présents partout en France, en Martinique et à New York.

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