Pour vivre au mieux son vol long-courrier et éviterl'inconfort digestif, on a demandé à une pro ce qu’il étaitpréférable de manger avant et pendant. Réponse.
11 heures d’avion (ou plus) vous attendent et vous redoutez déjà l'inconfort que cela implique ? Nous aussi. Une fois l’avion dans les airs, notre corps peut très mal supporter les conditions de vol qui ne sont pas vraiment adaptées à notre organisme. La pressurisation de la cabine (pression de l’air inférieure à celle du sol) , peut occasionner des maux de tête et d’oreilles mais aussi des ballonnements. L’air sec provoque de la déshydratation et assèche les muqueuses. La position assise, imposée dans des espaces très restreints et pendant une longue période, ralentit globalement la circulation sanguine, provoquant des gonflements au niveau des jambes. Quant à l’oxygène réduit, il peut accentuer l’état de fatigue …
Voilà qui ne fait pas rêver, surtout quand on sait que tous ces facteurs mènent souvent à l’inconfort digestif, rendant le voyage encore moins douillet. Pas de panique, il existe une solution à tout. Pour garder un ventre et un estomac libres de tout stress (et de ballonnements) , on a demandé à Nathalie Meer, Coach neuro-comportementaliste en nutrition® et diplômée en psychologie et pédagogie du comportement alimentaire (fondatrice de la Méthode Meer® et autrice) , de nous indiquer ce qu’il était préférable de manger avant et pendant le vol long courrier. De quoi mieux vivre son voyage et savourer son arrivée à destination.